Infos cliniques

Une étude historique publiée dans la revue «Nature» a cartographié le développement du cerveau tout au long de la vie, et montre que l'adolescence est un moment unique.

Avoir un antécédent de cancer augmente le risque d’hospitalisation et de décès liés à la COVID-19, a confirmé une étude québécoise réalisée par un groupe de chercheurs de l’INESSS, dont le rapport a été publié en avril.

L’évolution possible de nouveaux variants virulents est un argument en faveur de politiques de santé publique de détection et traitement rapide des individus infectés, afin de pouvoir prévenir toute apparition de nouveau variant.

Dans un nouvel avis, l’INESSS recommande au gouvernement d'étendre le remboursement des pompes à insuline à la population adulte diabétique de type 1, sous certaines conditions.

Les études de séroprévalence, comme celle réalisée par Héma-Québec, sont très utiles pour suivre l'évolution de la pandémie et sont essentielles pour valider les modèles servant à prédire son évolution.

Selon l'étude publiée dans «Diabetes Care», ces résultats ouvrent la voie à la possibilité d'utiliser le microbiome intestinal afin de prédire les risques de développer la maladie et ainsi trouver de nouveaux traitements.

Des dépôts de gras semblent se former dans le cerveau très tôt pendant l'évolution de la maladie, mais après l'accumulation de protéines amyloïdes au tout début de la maladie. Le Dr Alois Alzheimer avait lui aussi décrit ces agrégats de lipides, il y a une centaine d'années.

Certaines différences d’approches peuvent s’expliquer par la façon dont les gouvernements traduisent la science en politiques publiques. L’utilisation de la science peut en effet être influencée par la manière dont les institutions politiques sont organisées.