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Il faut resserrer les preuves d’innocuité que doit présenter l’industrie pharmaceutique avant de lancer un nouveau médicament. C’est en effet trop longtemps après leur commercialisation qu’on en détecte parfois les effets secondaires. Voilà ce que recommande le professeur Pierre La Rochelle, du Département de médecine familiale et de médecine d’urgence de l'Université Laval, après l'étude de 34 médicaments retirés du marché américain dans les dernières décennies.

Quand les parents ne savent plus quoi faire avec leurs ados, c’est souvent dans le bureau du médecin qu’ils se retrouvent. Psychiatre au département de psychiatrie du CHU Sainte-Justine, la Dre Patricia Garel explique comment prendre en charge cette clientèle hors norme.