Infos cliniques

Certains patients et professionnels de la santé se demandent s'il est sécuritaire pour les patients sous anticoagulants oraux de recevoir le vaccin contre la COVID-19. Une part de cette incertitude provient sans doute des mises en garde dans les monographies de produit des vaccins de Pfizer-BioNTech et Moderna.

Une molécule utilisée depuis des années dans le traitement du cholestérol pourrait se révéler utile dans la lutte contre le coronavirus en interférant avec la réplication du SRAS-CoV-2, croient des chercheurs de l'Institut de cardiologie de Montréal.

Les adultes d'âge moyen souffrant de solitude ont un risque accru d’avoir des symptômes de dépression pouvant perdurer jusqu’à douze ans plus tard, suggère une étude longitudinale publiée dans le Lancet Psychiatry.

Variante, souche, mutation : depuis des semaines les médias utilisent ces trois mots pour parler de l’émergence d’une nouvelle forme de COVID-19 au Royaume-Uni et en Afrique du Sud. Or, ces termes ne sont pas des synonymes.

Des études préliminaires portent à croire que le vaccin de Pfizer contre la COVID-19 protégerait efficacement contre deux variants très contagieux du virus qui ont fait surface au Royaume-Uni et en Afrique du Sud.

Le ^PrZeposia^MD (capsules d’ozanimod) est approuvé pour diminuer la fréquence des exacerbations cliniques. L’ozanimod est le troisième modulateur oral des récepteurs de la sphingosine 1— phosphate (S1P) à être commercialisé pour la SP au Canada, après le fingolimod et le siponimod.

Dix millions de morts par an d’ici 2050 liés à la résistance aux antimicrobiens. C’est la prévision d’une vaste étude britannique menée en 2014 si la tendance se maintient. Malgré les efforts importants déployés dans les dernières années, ces chiffres sont hélas toujours d’actualité.