Infos cliniques

Les études doivent encore respecter les contrepoids scientifiques habituels, même en cas de pandémie, soutient un professeur de virologie à l'Université d'Ottawa. "[Les chercheurs] pousseront aussi loin qu'ils le peuvent, dit-il. Mais on ne peut pas utiliser les gens comme des cobayes, même avec les meilleures intentions au monde."

Normalement, il faudrait des années d’études précliniques et d’essais cliniques à coût de millions de dollars pour trouver un remède. Mais il existe un moyen rapide et pratiquement gratuit de contourner le problème: se tourner vers les 20 000 médicaments approuvés par la FDA qui ont déjà fait l’objet d’essais. Peut-être en existe-t-il dans cette vaste liste qui peuvent combattre le coronavirus...

Les gens souffrant d'hypertension pourraient être plus à risque d'être infectés, de ressentir des symptômes graves et même d'en mourir, laissent croire certaines recherches préliminaires. On ignore toutefois si ce risque accru découle de la maladie elle-même ou des médicaments utilisés pour la traiter.

La professeure Julie Hussin et ses collègues utiliseront l'intelligence artificielle pour tracer le profil génétique du virus.

Le vapotage et le tabagisme pourraient rendre plus vulnérables au coronavirus des populations, comme les plus jeunes, chez qui le risque de complications graves liées à la COVID-19 serait autrement moins élevé, prévient un expert.

La perte de l’odorat peut être classée comme un symptôme possible du coronavirus, soutient l’Institut national d’excellence en santé et services sociaux (INESSS).

François Legault avait prévenu les Québécois qu'il s'attendait à ce que la plus importante augmentation de cas soit enregistrée ce lundi. C'est arrivé: le Québec compte désormais 628 cas confirmés, soit la province avec le plus de cas au Canada.