Infos cliniques

Des chercheurs et cliniciens de l'Université de Montréal, de l'Université McGill et de l'Hôpital de Montréal pour enfants tenteront de mieux comprendre les causes de certains troubles neurologiques dans l’espoir de les dépister plus tôt et de mieux les traiter.

La pandémie de COVID-19 a induit de profonds changements dans la pratique des dermatologues, en ce qui concerne leurs revenus et leur manière de travailler, mais aussi les maladies traitées et les médicaments prescrits, montrent les résultats d'un récent sondage.

Les experts du Programme québécois de cancérologie viennent de statuer sur le nombre de jours d'attente idéalement requis entre la vaccination contre la COVID-19 et le début de la chimiothérapie.

Une personne ayant reçu une injection de charges dermiques à l’acide hyaluronique devrait attendre deux semaines avant de recevoir le vaccin contre la COVID-19, recommande l’Association canadienne de dermatologie.

Le portail, lancé vendredi, a été mis sur pied par le Réseau québécois de recherche sur la douleur, en partenariat avec la Chaire de leadership en enseignement sur la douleur chronique-MEDISCA de l'Université Laval, l'Université TELUQ et l'Association québécoise de la douleur chronique, mais aussi avec des patients partenaires.

La communauté médicale est encore divisée sur la question des symptômes persistants liés à la maladie. L'INESSS ne peut trancher, mais il note qu'une meilleure prise en charge médicale pourrait contribuer à limiter les cas et recommande aux ordres professionnels d’offrir des formations ciblées sur le sujet.

L’étude de la chromothripsie dans les cancers est importante, car elle devrait permettre de mieux comprendre la genèse de la maladie et de développer des médicaments plus efficaces, ciblant le moteur de la cellule tumorale : son ADN.