Ma pratique

Est-il vrai que les médecins de famille québécois·es ne travaillent pas assez? La solution aux problèmes d’accès se trouve-t-elle vraiment dans l’imposition de mesures de performance? Anne Plourde, chercheuse à l'IRIS, explore ces questions.

Le rapport annuel 2024 de l’Association canadienne de protection médicale (ACPM) révèle un environnement médico-légal en mutation, marqué par une hausse des plaintes et un niveau de stress élevé chez les médecins.

La question se pose de savoir si les PSH sont systématiquement incluses dans les réflexions concernant les avancées technologiques des applications d’IA en lien avec le handicap.

Créée par une doctorante de l'Université McGill et lancée il y a quelques semaines, l'application web recense déjà une cinquantaine de professionnels, principalement spécialisés en santé mentale et pratiquant dans le Grand Montréal.

La médecin a laissé des préposées se présenter comme infirmières. L’inhalothérapeute qui l’assistait a failli. La patiente qu’elle opérait est décédée 12 jours après l'intervention.

L'étude a révélé que le nombre d'hommes dont l'espérance de vie est limitée et qui sont surtraités a grimpé en flèche chez ceux qui présentent une maladie à risque intermédiaire ou élevé, au cours des deux dernières décennies.

Il manquerait selon la FMOQ entre 1500 et 2000 médecins pour être en mesure de répondre aux besoins de la population. Que nous disent les données à ce sujet? Anne Plourde, chercheuse à l'IRIS, se penche sur la question.

«On stigmatise souvent la vulnérabilité comme étant une faiblesse. À ce moment précis, je vous le dis, je ne me suis jamais senti aussi fort», confie le Dr Palanchuck.