Infos cliniques

Une nouvelle étude suggère que les patients qui recherchent les effets secondaires d’un médicament en ligne seraient plus susceptibles de les éprouver.

Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Institut neurologique de Montréal met en lumière l’importance du diagnostic précoce du VIH et de la mise en route rapide du traitement antirétroviral d’association pour prévenir des lésions neurologiques.

En janvier dernier, l’INESSS recommandait que les médecins n’utilisent pas de façon systématique le dosage de l’APS pour le dépistage du cancer de la prostate. Il met maintenant à leur disposition un outil d’aide à la prise de décision.

Santé Canada s'apprête à rendre obligatoire l'ajout d'un autocollant de mise en garde sur les opioïdes obtenus sur ordonnance et la remise d'un document explicatif aux patients.

Les gens qui ont un mélanome sont plus susceptibles d'être diagnostiqués et traités à un stade précoce s'ils sont mariés que s'ils sont divorcés, veufs ou n'ont jamais été mariés, montre une récente étude publiée dans Jama dermatology.

Les médecins ont délivré plus de 4 000 prescriptions de Mifegymiso aux femmes canadiennes en 2017, date à laquelle la pilule abortive a été commercialisée.

Une étude conduite dans le cadre du mandat ministériel de surveillance des maladies chroniques de l’Institut national de santé publique du Québec a montré que dans certains cas, la prise d’un générique engendre des complications et des effets secondaires pouvant mener à des hospitalisations. Et le phénomène serait loin d’être marginal.

Si elle fait encore peur à plusieurs personnes en raison des nombreux effets indésirables qu’elle entraîne et de sa mauvaise presse, la chimiothérapie est, la plupart du temps, acceptée par les patients, constate Marie-Claude Gagnon qui, en tant que bénévole pour la Société canadienne du cancer, parle avec plusieurs personnes qui ont la maladie.