Relation médecin / patient

Les erreurs médicales sont une réalité incontournable. Or, une catégorie de victimes est généralement insoupçonnée: le soignant qui a réalisé l’acte engendrant une complication, et qui est dans certains cas qualifié de «seconde victime».

Les Canadiens feraient moins confiance à leurs médecins aujourd'hui qu'avant la pandémie. Le plus grand déclin a été constaté chez les 45-54 ans et le plus modeste chez les 35-44 ans.

Féminisation de la profession, changements de valeurs, impact de la pandémie: la profession médicale s’est transformée ces dernières années et une équipe de chercheurs souhaite mieux comprendre comment ces changements ont permis de redéfinir le rôle des médecins.

En introduction à la 24e Conférence internationale sur le sida qui se déroulera à Montréal du 29 juillet au 2 août, la Coalition des organismes communautaires québécois de lutte contre le sida (COCQ-SIDA) a organisé une table ronde sur «l’éradication réaliste du VIH/sida au Québec d’ici 2030».

Selon un Institut canadien, le Canada était déjà confronté à une crise de santé publique avant la pandémie: celle de la sécurité des patients. Les incidents qui y sont liés sont d'ailleurs la 3e cause de décès, après le cancer et les maladies cardiaques.

Tous les professionnels de la santé ont un jour croisé un patient qui sait tout, un autre qui n'adhère pas à son traitement, ou trop bavard ou irritable. Voici comment préserver la relation thérapeutique tout en tenant compte de la personnalité et des défis de chacun.

Le Centre de répartition des demandes de services (CRDS) suscite la grogne des omnipraticiens et des médecins spécialistes. Conscient des enjeux rencontrés par les cliniciens, le ministère de la Santé annonce des projets d’amélioration.

Vos patients vous irritent-ils parfois? L’inverse est tout aussi vrai. Voici un florilège des reproches les plus courants adressés par les soignés à leurs soignants.