Opinions

Depuis la pandémie, le taux d'adoption des soins virtuels au Canada a augmenté de façon spectaculaire. La grande question est la suivante: les soins virtuels sont-ils pertinents pour la pratique pharmaceutique en milieu traditionnel?

«Mon fils est fatigué pour l'école, mais il a de l'énergie pour le hockey.» Surprenant!

«Si la justice n’agit pas, il incombe aux responsables politiques de le faire. Ils doivent continuer à permettre aux patients de se faire soigner "en privé" dans une autre province canadienne; il ne s’agit pas d’une "faille", mais d’une pratique tout à fait légale», soutient le Dr Shaver.

«Il s'agit d'une phrase de décharge par défaut souvent lancée par réflexe. Une formule fourre-tout qui renvoie à la responsabilité et à l'obligation. Chers collègues, il faudrait vraiment y réfléchir à deux fois avant de l’énoncer», plaide le Dr Adam Stewart.

«J’ai échoué deux fois à mon évaluation par les pairs de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (OMCO), mais j’ai été reçu à mon troisième essai et je l’ai réussi haut la main», partage le Dr Crosby.

«J’écoute Stat. Comme bien d’autres. Soir après soir, depuis son lancement. Je me demande bien pourquoi… C’est tellement mauvais!»

À travers les 1180 articles du projet de loi 15, il ressort que le ministre brasse passablement les structures. Toutefois, il est muet sur plusieurs aspects en lien avec la pharmacie et le médicament.

En tant qu’étudiant non jumelé lors du CaRMs 2003, je vous demande de me croire quand je dis que les choses arrivent pour une raison.