Ma pratique

Il nous arrive tous, un jour ou l’autre, de faire preuve de partialité et d'entretenir des préjugés dans le cadre de notre pratique.

Dès que nous entrons dans le système de santé, l’attention se déplace de notre identité à la maladie ou au problème auquel nous sommes confrontés.

Dans un contexte de pénurie de personnel, contribuer au bonheur de ses employés est primordial pour assurer une bonne rétention. Parmi les stratégies proposées, participer à la gestion de leur stress peut s’avérer très bénéfique, selon la neuroscientifique Sonia Lupien. 

Le forum s'est penché sur le constat de la dégradation de la santé mentale des professionnels de la santé. Plus de 120 professionnels se sont réunis pour proposer un plan d'action visant à améliorer la santé mentale de ceux qui s'occupent de la santé des autres.

Après le deuxième tour du CaRMS, 73 postes de résident en médecine demeurent vacants au Québec, tous en médecine familiale. Une situation similaire à l’an dernier, fait remarquer la Dre Jessica Ruel-Laliberté, présidente de la FMRQ.

«Selon les statistiques recueillies par le PAMQ, les femmes représentent environ les deux tiers de leur clientèle. Il reste du travail à faire pour briser la carapace des hommes. Le jour où de plus en plus d’hommes lanceront un appel à l’aide, le réseau devra être en mesure d’y répondre!»

«Mon fils est fatigué pour l'école, mais il a de l'énergie pour le hockey.» Surprenant!

«Il s'agit d'une phrase de décharge par défaut souvent lancée par réflexe. Une formule fourre-tout qui renvoie à la responsabilité et à l'obligation. Chers collègues, il faudrait vraiment y réfléchir à deux fois avant de l’énoncer», plaide le Dr Adam Stewart.