L’industrie des soins virtuels privés connaît une croissance sans précédent depuis la pandémie de COVID-19. Un essor qui devrait se prolonger. Un nouveau règlement vient même de légitimer ses activités, en autorisant les médecins du réseau de la santé à travailler pour ces entreprises.
Pour la Dre Louise Caouette-Laberge, lauréate du Prix Irma-Levasseur remis mercredi par la FMSQ, il faut davantage mettre de l’avant qu’il est possible de réussir en médecine en tant que femme tout en ayant une vie familiale épanouie.
«Les médecins peuvent être en désaccord mais, dans le cadre des soins prodigués à ce patient, il semble que mon collègue se soit rendu coupable d'évitement du travail», croit le Dr Raj Waghmare.
Selon la psychiatre, lauréate du Prix de la relève Marthe-Pelland remis mercredi par la FMSQ, le système de santé devrait faire une plus grande place aux valeurs féminines pour que les soins soient davantage humains.
Parfois, il faut avoir les sens aussi aiguisés que ceux d'une araignée pour saisir ce que les patients ne vous disent pas, explique le Dr Hector Baillie.
Le Collège des médecins du Québec (CMQ) a rappelé à ses membres dans une communication que les ordonnances de laboratoire n’ont pas de période de validité.
Les auteures ont envoyé un sondage aux médecins pour déterminer leurs préjugés. Les commentaires «démontrent un manque fondamental de connaissances sur ce qu'est la race, ce qu'est le racisme, ce qu'est le pouvoir et ce qu'est le privilège».