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Les sources de pollution sonore sont multiples en pharmacie, et peuvent causer des difficultés de concentration, voire un épuisement professionnel chez le personnel. Le bruit est-il toutefois inéluctable? Existe-t-il des solutions pour réduire ce fardeau et ainsi améliorer l’environnement de travail?

La perception du public est influencée non seulement par les services offerts, mais aussi par la manière dont ils sont communiqués, explique Marilou Brouillet.

Lorsqu’un membre de l’équipe s’absente, c’est tout l’équilibre de la pharmacie qui peut être chamboulé. Plutôt que de voir ces absences comme un problème à régler, et si on les voyait comme un signal d’alarme à écouter? Voici quelques pistes de réflexion à explorer.

«Jongler avec les effectifs, les coûts, la conformité et, surtout, les soins aux patients, c'est comme marcher sur une corde raide», écrit la pharmacienne Niki Shah.

Les raisons pour lesquelles un collègue quitte son emploi sont multiples : retraite, démission, licenciement, voire radiation professionnelle… Comment poursuivre l’activité de sa clinique ou de sa pharmacie et maintenir une cohésion d’équipe dans ces conditions?

«Quand tout devient une suite de tâches à cocher, quand on ne prend plus le temps de s’impliquer dans son quartier, de discuter entre collègues, de célébrer les petites victoires… on finit par s’éteindre», écrit Marilou Brouillet.

Comme dans n'importe quel environnement de travail, les échanges informels font partie du quotidien en pharmacie. Parfois, la frontière entre conversation et commérage devient floue, et peut affecter l'ambiance de travail. Mais les ragots sont-ils si mauvais?