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Le ministre veut-il vraiment améliorer l’accès en première ligne? Critiquer les médecins de famille comme il le fait actuellement est même contre-productif: il se met à dos les plus «performants» d'entre eux, déplore la Dre Dechêne.

«Il faut briser le silence pour se sortir de la honte et de la culpabilité de mettre parfois un genou à terre. C'est là, le vrai premier pas. C'est peut-être aussi le plus difficile, mais ce sera la seule façon de commencer à réparer ce qui s'est brisé en nous», écrit le Dr Steven Palanchuck dans son premier billet de blogue.

Clara Scattolin, qui vient de compléter son Pharm. D., s'entretient avec un camarade de classe qui s’apprête à devenir pharmacien dans les Forces armées canadiennes.

«Merci de dépeindre les médecins comme tu le fais. Des êtres ordinaires à qui on attribue des pouvoirs extraordinaires et envers lesquels on a souvent des attentes démesurées», confie le Dr Ladouceur à propos de la série «Empathie».

«Préserver cette polyvalence, c’est aussi préserver l’âme de la profession. Prenons garde de ne pas sacrifier pour autant l’accessibilité et la proximité des soins», écrit Christophe Augé dans son éditorial.

«Il ne peut tout simplement pas y avoir de double standard entre les patients traités le jour et ceux traités la nuit, ou ceux dont l'ordonnance est traitée dans un établissement de santé ou dans une pharmacie communautaire», écrit Marc Parent.

Les données probantes documentent l’atteinte de meilleurs résultats thérapeutiques obtenus lorsque les pharmaciens sont responsables de la prise en charge de la médication, souligne Denis Roy dans son nouveau billet.

«Pourquoi fait-on encore la majorité de notre travail à la demande du patient?», demande Philip Morgan dans son nouveau billet.