Dès la rentrée 2024, les étudiants en médecine de première et deuxième année à l'UdeM auront un nouveau programme, axé sur l’inclusion de nouveaux concepts comme les soins anti-oppressifs et la relation soignant-patient.
Le gouvernement revoit ses politiques en matière de droits de scolarité et de langue pour les étudiants de premier cycle venant de l’extérieur de la province.
Plusieurs médecins de famille se montrent encore peu enclins à prescrire l’hormonothérapie à leurs patientes pour traiter leurs symptômes de ménopause. De l’avis de deux gynécologues-obstétriciens, il n’y a pourtant aucune raison d’hésiter.
«En 27 ans de pratique, c’est du jamais vu», confie le Dr Yves Robitaille, spécialiste en médecine interne au Centre de médecine métabolique de Lanaudière.