Créée par une doctorante de l'Université McGill et lancée il y a quelques semaines, l'application web recense déjà une cinquantaine de professionnels, principalement spécialisés en santé mentale et pratiquant dans le Grand Montréal.
L'étude a révélé que le nombre d'hommes dont l'espérance de vie est limitée et qui sont surtraités a grimpé en flèche chez ceux qui présentent une maladie à risque intermédiaire ou élevé, au cours des deux dernières décennies.
Près de la moitié des jeunes Canadiens ont pris un rendez-vous médical au cours de la dernière année et 29% ont eu recours à des services de télésanté.
Le Collège des médecins du Québec, l’Ordre des infirmières et infirmiers et l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés veulent mettre en lumière les impacts des certificats médicaux de complaisance ou non conformes.
Faire entendre raison à un patient convaincu qu’un traitement non reconnu ou qu’une thérapie alternative peut améliorer sa condition est un exercice périlleux, et parfois inapproprié, pour les soignants.