Relation médecin / patient

Les patients ne vont pas arrêter de poser des questions sur leur santé à ChatGPT, alors les professionnels doivent s'adapter.

Au Québec, les anglophones étaient plus susceptibles que les francophones vivant ailleurs au Canada «de penser qu’il était important de recevoir des services de santé dans leur langue officielle et de demander de tels services»

Aligner les soins sur les objectifs du patient reste un défi en oncologie avancée. Une étude en dresse le constat et propose des pistes de solutions.

La Dre Perle Feldman raconte à quel point son poids l’a desservie durant sa carrière de médecin.

Dans son bureau du GMF-U de la Pommeraie, à Cowansville, la Dre Anne-Patricia Prévost reçoit presque chaque jour des patients qui se plaignent de mal dormir. «Probablement une consultation sur dix. La fatigue est le motif principal, et l’insomnie vient généralement avec», observe-t-elle.

Les patients présentant un problème d’adhésion au traitement sont un cas de figure courant en pharmacie ou en cabinet médical, et impliquent une communication réfléchie, aussi bien entre le professionnel de la santé et son patient qu’au sein de l’équipe de soins.

En une décennie, le «modèle de Montréal» a transformé la relation soignant-soigné. Propagé désormais dans tout le réseau, il impose le partenariat avec les patients comme un levier de qualité, de sécurité et d’innovation en santé.

Lorsque les patients sont informés, impliqués, proactifs et utilisent le système de santé de manière appropriée, ce dernier est plus performant. À l'inverse, les patients passifs et non adhérents qui abusent des soins de santé mettent les systèmes à rude épreuve.