Oncologie

Une étude récente portant sur les moyens d'exploiter le système immunitaire pour traiter le cancer a découvert que les cellules T s'épuisent quelques heures après avoir rencontré des cellules cancéreuses.

Deux groupes demandent une meilleure collecte de données, notamment sur l'origine ethnique, les facteurs de risque et les soins de fin de vie, pour aider à améliorer les résultats sur le cancer à travers le pays.

La Société canadienne du cancer et Santé Canada étudieront la classification de l'aspartame comme possiblement cancérogène faite par l'OMS, qui considère l'édulcorant sûr à consommer à condition de respecter la limite quotidienne recommandée.

La composition de la graisse corporelle est également plus altérée chez les patientes sous chimiothérapie que chez celles recevant un traitement hormonal.

Le manque de dépistage pourrait être un facteur contributif à l'autre découverte majeure de l'étude: au moment du diagnostic, le cancer chez les hommes autochtones était plus avancé et plus agressif que chez les non autochtones.

Une flore intestinale provenant d'un donneur en bonne santé améliorerait l'efficacité de l'immunothérapie utilisée pour combattre le cancer de la peau, laissent espérer des travaux auxquels participent des chercheurs montréalais.

La prochaine grande avancée dans le traitement du cancer pourrait être un vaccin. Après des décennies de succès limités, les scientifiques affirment que la recherche est arrivée à un tournant, et beaucoup prédisent que d'autres vaccins seront disponibles d'ici cinq ans.

La plupart des femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein peuvent maintenant espérer survivre à la maladie pendant plusieurs années, assure une nouvelle étude publiée par le journal médical BMJ.