Le Sondage national des médecins 2012 révèle que 50 % des résidents en médecine familiale et 74 % des résidents des autres spécialités sont préoccupés quant à leur futur emploi.
La complexité des problèmes de santé des personnes âgées atteintes de démence représente un défi pour les familles lorsque vient le temps de déterminer les soins de fin de vie. Une approche développée en Nouvelle-Écosse pourrait faciliter ce processus décisionnel et éviter l’acharnement thérapeutique.
«Si je n’étais pas parvenu à placer mes patients auprès de mes collègues, je serais resté un an et peut-être même deux de plus», explique le Dr Jean-Louis Bard, qui prend sa retraite à 71 ans.