Il suffit d'un tour rapide sur les réseaux sociaux avec le mot-clic #skincare (soins de la peau) pour être submergé par des millions de vidéos faisant la promotion des soins du visage et du corps. L'Ordre des chimistes du Québec s'inquiète de cette tendance.
Si la médecine basée sur les preuves semble s’être imposée, les polémiques survenues durant la pandémie de COVID-19 nous rappellent que ce «golden standard» ne va pas encore de soi…
Le forum citoyen sur la maladie cœliaque a permis de partager tant des expériences que des solutions pour mieux faire face aux lacunes du système de santé.
Des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique ont étudié le fardeau et les facteurs prédictifs de la non-observance liée aux coûts des traitements par ordonnance au Canada.
Les recommandations canadiennes résument les données les plus récentes sur l'épidémiologie, la présentation clinique, l'évaluation diagnostique et la prise en charge du MINOCA.
Cette stratégie s'inscrit dans le cadre de la «médecine de précision» ou de la «médecine personnalisée», qui voit des traitements être développés sur mesure pour un patient.
C’est une première au Québec. Le service de cancérologie du CISSS de la Montérégie-Centre accueille, depuis un peu plus d’un an, un chien d’accompagnement pour les patients. ProfessionSanté.ca l’a suivi pendant l’une de ses tournées.