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Alors que le Plan d'action québécois en santé mentale vient à échéance en 2020, la porte-parole de l'opposition officielle en matière de services sociaux, Hélène David, propose de mener une vaste réflexion sur la santé mentale de façon non partisane, laquelle pourrait prendre la forme d'une commission parlementaire itinérante.

Les responsables de la santé publique à travers le pays envisagent sérieusement d'accroître l'accès à des opioïdes «plus sûrs» pour apaiser la crise qui perdure.

Les experts chargés par le gouvernement fédéral d'évaluer si les personnes souffrant uniquement de troubles mentaux devraient devenir admissibles à l'aide médicale à mourir n'ont pas pu se mettre d'accord sur les éléments de preuve pertinents en la matière, d'après des rapports déposés au Parlement mercredi.

Des médecins oeuvrant dans le secteur des soins palliatifs ont lancé un cri du coeur, mercredi, estimant traverser une véritable crise aux conséquences inestimables.

«C’est arrivé à l’occasion d'avoir des années importantes en termes de demandes, mais généralement ça se calmait les années suivantes. C’est la première fois que l’augmentation des demandes persiste de la sorte. C’est préoccupant et surprenant», a affirmé la directrice générale du PAMQ, la Dre Anne Magnan.