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Anticipant une augmentation de la détresse psychologique liée à la pandémie, Québec demande aux professionnels en santé mentale qui ont été affectés à d’autres tâches ces dernières semaines de reprendre du service au sein de leur département, et émet plusieurs recommandations.

À la suite de son rapport d’enquête, le Collège des médecins du Québec propose un moratoire sur certains types de bandelettes sous-urétrales servant à prévenir l’incontinence urinaire et demande à ce que les médecins appelés à procéder à des chirurgies de retrait suivent des formations complémentaires.

«Un bon accès aux services de santé mentale, surtout en pédopsychiatrie, est fondamental. Cet accès, depuis trop longtemps, fait cruellement défaut», déplore la FMOQ dans un mémoire déposé à la Commission Laurent. Elle suggère la mise en place d’équipes spécialisées en santé mentale en première ligne partout au Québec.

On ignore l'issue clinique pour environ le tiers des cas de COVID-19 au Québec, une chercheuse du CIRANO dans un rapport sur le profil démographique des cas positifs de la COVID-19, des décès, des hospitalisations et des guérisons. On ne sait donc pas si ces patients sont décédés, s'ils sont guéris, ni même dans certains cas s'ils ont été hospitalisés.

Le taux de reproduction du SARS-Cov-2 aurait atteint son plus bas niveau depuis le début de l'épidémie au Québec, laissant penser que celle-ci serait maîtrisée.

Quels seront les impacts psychosociaux de l'épidémie de COVID-19 et de l’isolement au Québec dans les prochains mois? Des chercheurs ont tenté de répondre à cette question en observant ce qui s’est passé, dans différents pays, après des événements extrêmes, comme des épidémies, des catastrophes météorologiques ou des désastres.

Alors que les appuis au port du masque obligatoire dans les lieux publics se multiplient, des chercheurs de l’université de Cambridge ont publié un modèle mathématique qui suggère que le port du masque pourrait permettre de diminuer considérablement le risque de survenue d’une deuxième vague de COVID-19.

Selon le bureau de la coroner de la province, pas moins de 170 personnes ont péri en mai, contre 76 en février. L'augmentation de la concentration de fentanyl dans certaines drogues seraient en cause.