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Alors que la COVID-19 a déclenché une réflexion sur les résidences de soins de longue durée, une nouvelle analyse de l'ICIS indique qu'une personne sur neuf admise dans un tel centre d'hébergement en 2018-2019 aurait pu rester à domicile en y recevant des soins.

Alors que des géants du Web peuvent aisément mettre la main sur des informations médicales personnelles sensibles à des fins commerciales, les chercheurs du Québec peinent à accéder à des blocs de données médicales anonymisées au profit du bien-être collectif. Dans la guerre aux données médicales, les forces en présence ne se battent pas à armes égales. Portrait d’une quête.

"Ce n'est que la pointe de l'iceberg", selon une porte-parole de l'ICIS, Christina Lawand, notant que toutes les blessures auto-infligées ne mènent pas toujours à une hospitalisation.

Québec mettra en place l’automne prochain une solution informatique pour que les patients puissent consulter l’ensemble des plages disponibles dans les cliniques médicales, peu importe les plateformes de prise de rendez-vous utilisées par ces cliniques.

Après analyse des dons de sang par des Québécois entre le 25 mai et le 9 juillet, l'étude permet d'extrapoler qu'environ 124 880 personnes de 18 à 69 ans auraient contracté le virus depuis le début de la pandémie.

Une nouvelle étude laisse croire qu'il y aura une augmentation potentiellement explosive des problèmes de santé mentale pendant des années après la fin de la pandémie de COVID-19, qui risque de toucher particulièrement les femmes.

La Réserve nationale de fournitures médicales et d'équipements de protection individuelle (EPI) devrait être soustraite de l'Agence de la Santé publique du Canada et mise entre les mains d'une société d'État, plaident deux auteurs dans le Journal de l'Association médicale canadienne.