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Bien que la pandémie de grippe A (H1N1) n'ait pas été aussi virulente que prévu, le directeur de la protection de la santé publique estime tout de même que la campagne de vaccination était justifiée et pertinente.

Cela entraînerait également une remise en question radicale de la déontologie médicale classique et l’abolition d’une interdiction millénaire. Voilà quelques-unes des raisons qui ont amené l’Association médicale du Québec à se prononcer en commission parlementaire contre toute ouverture à l’euthanasie, au Québec.

L’hôpital actuel, héritage du siècle dernier, ne répond pas vraiment aux réalités d’une population vieillissante. Il est déphasé face aux besoins croissants liés aux nouvelles réalités démographiques. «C’est toute une philosophie de soins qui est ainsi à revoir»...

L’actualité médicale vous présente une synthèse des avis et des réflexions présentés par le milieu médical durant une première série d’auditions sur l'euthanasie.

On attend quelque 2000 participants provenant d’une quarantaine de pays lors de la 31e édition qui se déroulera du 3 au 10 juillet prochain dans la ville hôte, Porec, en Croatie.

Aider les patients à mourir dans la dignité est déjà une obligation déontologique pour les médecins québécois. Aux yeux du Collège des médecins, premier invité à s’exprimer lors de la commission parlementaire sur le sujet, la réflexion doit maintenant aller plus loin.

Un entrepreneur veut y ouvrir une clinique qui embaucherait uniquement des infirmières praticiennes spécialisées.

Au congrès de l'APES, le ministre de la Santé, le Dr Yves Bolduc, se dit «préoccupé» par la pénurie de pharmaciens dans les établissements de santé du Québec.