Une relève pour les omnis: pas de salut sans les sous
« On est venu leur dire que la médecine de famille est quelque chose d’intéressant, de gratifiant et qu’on travaille fort pour essayer d’améliorer leurs conditions de travail, mais on a peu de résultats. Maintenant, nous n’avons plus le choix, il faut des gestes concrets et s’atteler aux deux autres leviers, les conditions de pratique et la rémunération »