Santé publique

La plus haute responsable de la santé publique du Canada affirme que les restrictions d'approvisionnement obligent les centres de dépistage de la COVID-19 à choisir judicieusement les personnes auxquelles faire passer des tests tandis que Santé Canada tente d'accélérer l'approbation des trousses de test commerciales.

Alors que plusieurs pays ont mis sur pied un service de dépistage à l’auto ces derniers jours, des établissements hospitaliers du Québec emboîtent le pas.

Le Collège international Marie de France, de Montréal, ferme les classes de la seconde à la terminale à compter de mercredi car un élève est suspecté d'avoir contracté le virus COVID-19.

Afin de prévenir la propagation de la COVID-19, le premier ministre François Legault demande notamment au personnel hospitalier de renoncer aux voyages professionnels à l'étranger. Une démarche appuyée par la FMSQ, la FMOQ et l'APES.

Alors que la COVID-19 est maintenant présent dans plus de 100 pays, la santé publique du Québec estime qu’il serait peu efficace d’élargir la surveillance actuellement en place, qui est limitée aux voyageurs de certains pays.

Les travaux du Comité du Cabinet chargé de la réponse fédérale à la maladie du coronavirus s'ajouteront à ceux que réalise déjà le Groupe d'intervention en cas d'incident.

Alors qu’un premier cas de COVID-19 a été confirmé au Québec, l'INSPQ publie un document présentant les caractéristiques épidémiologiques de cette infection et ses diverses manifestations cliniques en se basant sur les cas déclarés en Chine.

Une étude publiée dans le Journal de l'Association médicale canadienne précise que les cancers du poumon, du sein, du côlon et de la prostate représenteront près de la moitié des 225 800 nouveaux cas de cancer détectés cette année. Le cancer du poumon demeurera le responsable du plus grand nombre de décès par cancer au pays.