Santé publique

Puisque la pandémie de COVID-19 aura eu un impact sur les activités scolaires de vaccination dans les écoles, le ministère de la Santé et des Services sociaux a annoncé des changements au Programme québécois d’immunisation.

L'opposition se questionne sur l'indépendance de la commissaire à la santé et au bien-être qui enquêtera sur la performance du réseau de la santé durant la crise du coronavirus au printemps dernier.

Le gouvernement du Québec va octroyer 106 M$ en urgence à la santé publique, a annoncé mardi le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, en présentant son plan d'action visant à anticiper une possible deuxième vague.

Dans une revue de la littérature scientifique publiée à quelques jours de la rentrée scolaire, l’Institut national de santé publique du Québec veut éclairer la population et les autorités publiques sur l’importance d’un bon système de ventilation mécanique centralisé.

Les pharmaciens communautaires pourront initier de la doxycycline en dose unique pour les Montréalais exposés à une piqûre de tique à l’extérieur de la métropole.

"Ce n'est que la pointe de l'iceberg", selon une porte-parole de l'ICIS, Christina Lawand, notant que toutes les blessures auto-infligées ne mènent pas toujours à une hospitalisation.

Une nouvelle étude laisse croire qu'il y aura une augmentation potentiellement explosive des problèmes de santé mentale pendant des années après la fin de la pandémie de COVID-19, qui risque de toucher particulièrement les femmes.

Le Canada a signé des accords avec Pfizer et la société de biotechnologie américaine Moderna afin de se procurer des millions de doses de leurs vaccins expérimentaux contre la COVID-19.