Orthopédie

Plus de 90% des patients passent par la case chirurgie, même si les données montrent des résultats similaires avec une prise en charge rééducative, et dont le quart des patients montrent d’excellents résultats 10 ans après leur blessure.

À première vue, la blessure paraît banale car les symptômes disparaissent dans les jours qui suivent. Malheureusement, ce n’est que la première étape de ce que les spécialistes appellent «la cascade catastrophique de l’entorse de cheville».

L’idée selon laquelle d'avoir les pieds plats constitue une prédisposition à des douleurs et autres problèmes musculosquelettiques, largement répandue parmi les professionnels de la santé pendant des décennies, pourrait être infondée.

Les fractures n'ont rien de banal pour les aînés, rappelle une nouvelle étude pilotée par un chercheur de l'Université Laval, puisqu'elles sont associées à un risque de mortalité très élevé pendant le mois qui suit la blessure.

Chez la moitié des patients, la douleur persiste ou réapparait un an après son apparition. L’auto-efficacité face à la douleur et les attentes des participants quant à l’efficacité de l’intervention qu’ils reçoivent peuvent jouer un rôle dans le pronostic.

Puisqu'il s’agit d’un exercice cardio à faible impact, elle sollicite moins les articulations. Les bâtons permettent de répartir le poids sur l’ensemble du corps et favorise les efforts de résistance au sol, diminuant ainsi l’impact sur les membres inférieurs.

Environ 30% des consultations pour des troubles musculo-squelettiques sont liées à des tendinopathies. Avec le vieillissement de la population, comprendre comment réparer les tendons devient un enjeu de santé publique.

«L’imagerie médicale permet-elle de savoir pourquoi on a mal? On aurait tendance à le croire… mais en fait cela est vrai et faux à la fois! Il faut tout d’abord rappeler une vérité fondamentale: aucun examen d’imagerie n’est capable de voir la douleur.»