Opinions

Le Québec a pris de bonnes décisions en matière de technologie dans la première ligne, mais l'ingérence bureaucratique a entraîné un accès inégal aux médecins de famille, affirme le Dr Mark Roper.

«La mesure du travail effectué, quel que soit le domaine, n’est pas un frein, mais au contraire un incitatif de groupe à l’amélioration de nos pratiques», croit la Dre Dechêne. Néanmoins, pour améliorer l'accès à la 1re ligne, «il est plus que temps d’implanter les pratiques efficientes interprofessionnelles existantes» exposées en commission.

La mobilisation, ça peut se faire contre toi ou avec toi. Ça peut se faire par la peur, la menace et l’intimidation, ou par le sens, la valorisation et le pouvoir d’agir. Ça peut se faire par le leadership positif et inspirant ou par l’autorité et l’imposition. Mais pour quels résultats? Cas pratique avec le PL11.

«Il y avait autrefois dans les hôpitaux un espace que l'on appelait le Salon des médecins. C’était comme la "taverne" du quartier, sans alcool. Ce jour-là, il y avait un médecin qui n’en menait pas large. Il venait de débuter une sédation palliative continue chez une secrétaire médicale...»

«Je souffre de blues hivernal, mais je suis relativement chanceux. De nombreux patients (y compris des médecins) souffrent de dépression. Une condition difficile à traiter car elle est souvent déguisée en maladie organique.»

Le Dr Robert Dickson a trouvé que le diagnostic d'une éruption est beaucoup plus difficile à établir lorsque le patient refuse d'être vu en personne… surtout si l'affection cutanée est des plus déroutantes.

La médecine familiale se dirige vers une crise, croit le Dr Jabir Jassam. Comment en est-on arrivés là?

«Chaque fois, je me dis: Oh! Mon Dieu! Comment cela est-il possible? Comment de si jeunes personnes, si belles, si intelligentes, à l’aube de leur vie peuvent-elles poser pareil geste? Mais est-ce si surprenant que cela?»