«Préserver cette polyvalence, c’est aussi préserver l’âme de la profession. Prenons garde de ne pas sacrifier pour autant l’accessibilité et la proximité des soins», écrit Christophe Augé dans son éditorial.
«Il ne peut tout simplement pas y avoir de double standard entre les patients traités le jour et ceux traités la nuit, ou ceux dont l'ordonnance est traitée dans un établissement de santé ou dans une pharmacie communautaire», écrit Marc Parent.
Si comme la Dre Melissa Yuan-Innes, vous aimez plaire aux gens et que le fardeau des soins devient trop lourd, elle vous donne la permission de prendre du temps pour vous, mais aussi d'épouser la vie que vous aimez.
«Vous devez écouter ceux qui sont au cœur du système médical et non les dénigrer (...) Ce sera gagnant pour tous et avant tout pour nos patients, vos électeurs», écrit la Dre Sylvie Dufresne dans une lettre adressée au ministre de la Santé, Christian Dubé.
Le Dr Ted Jablonski s’interroge: comment peut-on se sentir si incroyablement seul dans une profession qui repose si profondément sur l’interaction humaine?
Médecin de famille en fin de carrière, la Dre Sophie Galarneau réagit sous le coup de l'émotion à la suite du dépôt du projet de loi 106 dans cette lettre d'opinion écrite le 9 mai dernier.
Les données probantes documentent l’atteinte de meilleurs résultats thérapeutiques obtenus lorsque les pharmaciens sont responsables de la prise en charge de la médication, souligne Denis Roy dans son nouveau billet.
«Le gouvernement devrait proposer un vaccin plus efficace pour nos aînés s’il lui est possible de l’offrir et cela pourrait potentiellement aider à réduire l’engorgement de nos hôpitaux!», clame L’Association Pulmonaire du Québec.
