Oncologie

La pollution atmosphérique s’impose comme un facteur mutagène important chez les personnes non-fumeuses atteintes du cancer du poumon, selon une vaste étude internationale publiée dans Nature.

Une nouvelle étude de l’Université McGill examine les multiples usages potentiels de ces médicaments, au-delà de l’obésité et du diabète de type 2. Entrevue avec Areesha Moiz, chercheuse principale de l'étude.

Une nouvelle étude soulève des inquiétudes quant à la «déqualification» des endoscopistes qui utilisent régulièrement cette technologie dans leur pratique.

Administrer une seconde dose de radiothérapie sur une zone déjà irradiée peut être envisagée dans le cas d’une récidive locale de certains cancers. La réirradiation comporte toutefois des risques élevés de toxicité. 

« Toute personne ayant des poumons peut développer un cancer du poumon.»

L’Association des urologues du Canada (AUC) et le Groupe canadien d’uro-oncologie (GCUO) publient une mise à jour des lignes directrices de 2022 afin d’intégrer les nouveaux développements et recommandations.

Une vaste étude australienne a identifié les facteurs de risque phénotypiques, environnementaux et génétiques associés aux mélanomes se développant à partir d’un grain de beauté préexistant et ceux apparaissant sur la peau saine.

Le rapport de Statistique Canada indique que de nouveaux traitements ont contribué à améliorer le taux de survie au cancer du poumon.