Gastroentérologie

Une équipe de recherche de l’Université de Sherbrooke a mis au point une technologie qui modifie la composition des communautés de bactéries présentes dans le microbiote.

Alors qu’elle cherchait des composants alimentaires capables d’éliminer ou freiner la progression du cancer colorectal, une équipe de recherche de l’Université de Montréal a découvert que l’inuline favorisait la croissance d’une des bactéries responsables du développement du cancer colorectal.

Une étude québécoise a démontré qu’il suffirait seulement que de 48 heures pour que des changements dans l’alimentation se répercutent sur la composition du microbiote intestinal, pouvant ainsi avoir un impact sur la santé des individus.

Alors que plusieurs nouveaux médicaments contre le diabète ont été approuvés au Canada ces 10 dernières années, il est devenu essentiel de mettre à jour les lignes directrices sur la préparation à la coloscopie pour les patients diabétiques.

Une étude récente parue dans Oncoimmunology, a évalué l’impact de H. pylori sur les résultats d’un traitement par inhibiteurs de points de contrôle immunitaire et sur la composition du microbiome d’une cohorte de patients atteints de mélanome avancé.

Certains facteurs peuvent perturber le microbiote, comme l'alimentation, la consommation d’alcool, de la prise d’antibiotiques et des maladies inflammatoires de l’intestin. Ces «dysbiose» sont associées à un large éventail de maladies chroniques.

Les bactéries qui résident dans l'intestin interfèrent parfois avec la guérison des patients qui ont été opérés pour un cancer colorectal, une découverte qui pourrait permettre d'améliorer grandement le pronostic de ces patients.

Une alimentation supplémentée avec une bactérie naturellement présente dans l’intestin pourrait contrecarrer les effets induits par la consommation d’émulsifiants, comme l'inflammation intestinale, selon une étude française.