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Il n’y aura plus qu’un seul conseil d’administration et un seul président-directeur général, le Dr Fabrice Brunet, pour le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et le CHU Sainte-Justine. Le ministre de la Santé en a fait l'annonce ce matin.

Pour la mention «ne pas substituer», la RAMQ prolonge la période transitoire du Prograf jusqu’au 30 septembre inclusivement, «afin d’éviter que des personnes qui recevaient du Prograf avant le 1er juin 2015 soient contraintes de passer à la version générique ».

L'entente présentée par Jean Charest comme le moyen de résoudre la pénurie de médecins au Québec n'aura pas porté ses fruits. «C’était une illusion politique, juge le Dr Yves Robert, secrétaire du Collège des médecins du Québec.

Les hôpitaux disposant d'une aile de soins palliatifs et les maisons vouées à accueillir des patients en fin de vie auront donc le devoir, a soutenu le ministre Barrette sans ambiguïté, de se conformer à la Loi 52 et d'offrir l'aide médicale à mourir à ceux qui la demandent.

À quelques mois de l’application de la Loi 52, aucune des 29 maisons de soins palliatifs du Québec n’a l'intention d'offrir l’aide médicale à mourir à sa clientèle. Gaétan Barrette a vivement réagi.

La présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) accuse Thomas Mulcair de reculer sur sa promesse d'annuler les compressions dans les transferts en santé.

Une approbation par le Conseil du trésor doit être obtenue afin que la partie gouvernementale et l'AQPP puissent signer le document final.