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Dans une lettre de rappel aux membres du CMQ, le président, Mauril Gaudreault, et le secrétaire, Yves Robert, déplorent que, plus de cinq ans après l’adoption de la Loi concernant les soins de fin de vie à l'Assemblée nationale, les demandes d’aide médicale à mourir ne reçoivent pas toujours l’attention ni le suivi prévus par la loi.

Les hôpitaux devront déclarer à Santé Canada toute réaction indésirable grave à un médicament et tout incident lié à un instrument médical. Cette déclaration devra être faite dans les 30 jours suivant la réception des documents étayant le cas dans leur établissement.

La dévotion de la médecin de famille Marie-Dominique Beaulieu a été récompensée par l’État québécois, qui l'a nommée chevalière de l’Ordre national du Québec.

Le Collège des médecins et chirurgiens de l'Ontario a révoqué le permis d'un spécialiste de la fertilité d'Ottawa qui avait utilisé son propre sperme ainsi que celui de mauvais donneurs pour inséminer artificiellement plusieurs femmes, sur une période de 30 ans.

Loin de se résorber, l’écart de rémunération entre spécialistes et médecins de famille s’est plutôt creusé davantage ces dernières années au Québec. Frustré de cette situation, le président de la FMOQ croit toutefois que ses membres peuvent espérer un changement.

Considérant le rapport dévastateur sur les services en santé publique publié ce mois-ci, la médecin spécialiste en médecine préventive, Ak’ingabe Guyon, demande à la Vérificatrice générale du Québec de se pencher sur les coupes dans ce secteur.

Dans le numéro de juin, on met de l'avant les percées québécoises qui changeront la médecine, et on parle de la rosacée, de la maladie de Lyme, des soins de fin de vie, des patients standardisés et bien plus encore.