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Le refus d'une partie du personnel soignant de se faire vacciner pourrait entraîner un bris de services dans le réseau de la santé, selon le ministre de la Santé, qui dit vouloir tout mettre en oeuvre pour éviter ce scénario.

Sans ces primes, les résidences privées pour aînés risqueraient de se retrouver avec un exode du personnel vers le réseau public, où les salaires des préposés aux bénéficiaires ont été rehaussés pour de bon.

Le Québec va frapper un mur s'il ne prend pas le virage des soins à domicile aux aînés. Il va falloir accepter de payer plus pour se doter de services plus étendus.

Une technique d’imagerie en développement pourrait permettre de voir avec précision la circulation sanguine et de ce fait, potentiellement détecter les signes de démence avant même l’apparition des premiers symptômes.

Une infirmière a précisé qu'elle n'est pas contre la vaccination. Ce qui l'a fait hésiter, c'est le manque d'informations et de recherches à ce jour sur les effets à long terme de ce nouveau vaccin. «On n'a pas assez de recul», a-t-elle expliqué.

En dépit de la 4e vague de COVID-19 qui s’abat sur le Québec, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) n’a pas l’intention de déroger à son plan initial: les cliniques désignées d’évaluation (CDÉ) disparaîtront le 6 septembre prochain, comme prévu.

Si la commission approuve l'idée, le gouvernement devrait normalement déposer un projet de loi qui pourrait, par exemple, autoriser le consentement anticipé aux personnes ayant des pertes cognitives ou souffrant de maladies mentales.

Depuis quelques semaines, la vaccination contre la COVID-19 en pharmacie connaît un fort ralentissement, obligeant même certains pharmaciens à jeter des doses faute de preneurs ou à mettre la vaccination sur pause.