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«Est-ce que les médecins savent vraiment ce qu'est un générique? S'imaginent-ils que s'ils ne mettent pas cette mention, le pharmacien va changer le médicament!?». Résultats du sondage.

Le premier ministre Jean Charest est déterminé à appliquer le règlement forçant l'industrie pharmaceutique à offrir au Québec les prix les plus bas consentis ailleurs au Canada.

Une diplômée de design industriel de l'Université de Montréal a présenté cette semaine une nouvelle chemise d'hôpital qui assurerait une plus grande dignité aux patients tout en favorisant l'accès au corps pour les professionnels de la santé.

«On nous demande d’inscrire «ne pas substituer» pour, nous dit-on, stimuler la recherche. Très bien, mais est-ce que l’argent va réellement à la création de nouveaux médicaments?» Un médecin de famille s’interroge s’il peut encore faire confiance aux compagnies pharmaceutiques.

L'Hôpital général juif, dont l'urgence est l'une des plus achalandées au Québec, recevra un peu de répit.

Le Parti québécois estime que les pharmaciens devraient pouvoir prolonger des ordonnances, initier certaines thérapies médicamenteuses et amorcer des traitements pour certaines affections mineures.