Opinions

«À la fin de l'entrevue, le journaliste m’a avoué que son seul but au départ était de me faire "tomber dans un piège", de faire un grand titre avec la citation d’un jeune médecin qui en dénigrerait un autre et (...) que son article ne serait probablement pas accepté par la rédaction, faute de commentaires diffamatoires et méchants.»

Projetons-nous dans un avenir où les médecins de famille ne sont pas nécessairement révolus mais plutôt utilisés à bon escient; où la population est inscrite auprès d’une infirmière de famille, qui fait le suivi de ces personnes qui «vont bien» et qui les dirige à un médecin en cas de besoin.

Plusieurs infirmières travaillent au sein de Transplant Québec, l’organisme de coordination du don d’organes dans la province depuis plus de 25 ans. Mais peu de choses sont connues sur la nature de leur travail.

Petite réflexion en cinq actes sur les à-cotés de notre pratique

«Rien de tel qu’un médecin confronté chaque jour à la maladie pour témoigner des difficultés vécues par ses patients et pousser les décideurs à agir», déclare Corinne Voyer, chargée de dossier à la Coalition Poids, à propos de la lutte contre l'obésité.

«Je trouve dommage que l’on voie dans l'augmentation du ''pouvoir'' des autres professions la perte de pouvoir de la médecine... De mon point de vue d'infirmière, si les médecins trouvent qu'ils s'en vont vers la perte de pouvoir, ils n'ont qu'eux-mêmes à blâmer!»

«Naïvement, peut-être, je crois que le dopage concerne seulement une minorité des sportifs. Si le dopage était autorisé, les sportifs non dopés actuellement seraient pratiquement obligés d’utiliser des substances dopantes pour ne pas se trouver indûment désavantagés.»