En Amérique du Nord, on évalue qu’un patient sur cinq est un chercheur d’information médicale sur Internet. Plus souvent des femmes, plus nombreux dans la tranche des 30-65 ans, ces internautes ont un nom : les health seekers.
Avez-vous remarqué l’ambivalence que nous avons vis-à-vis de la mort ? Nous refusons de donner la mort à un criminel et nous la donnons si facilement dans les avortements et dans l’euthanasie.
Que les membres du personnel de l’urgence de Chicoutimi décident de s’amuser un peu en filmant un petit lipdub sans déranger personne dans leur urgence, sans impliquer de patients, sans déranger les soins… quel drame!
Nom féminin : maladresse, manque de finesse ou de vivacité, pesant, difficile à supporter. En langage commun, une personne ennuyante et dérangeante. Je prendrai ce mot dans quelques-uns de ses sens, en quatre temps.
Mme Céline Tessier, coordonnatrice de l’équipe des bénévoles à l’unité des soins palliatifs du Centre hospitalier régional de Trois-Rivières, nous donne un texte percutant dans La Presse du 13 novembre 2009 sur le devoir du médecin à l’endroit des patients en fin de vie.