Opinions

Les médecins doivent avoir la possibilité de travailler dans le cadre de systèmes de santé offrant un tableau plus complet des médicaments administrés aux patients. Mais l’accès à une telle information peut être compliqué...

«Vieillir ne signifie pas nécessairement devenir fragilisé. Par contre, plus on vieillit, plus on est susceptible de devenir fragilisé. La fragilisation, plus que le facteur âge pris isolément, permet de déterminer avec plus d’exactitude les résultats sur la santé et l’utilisation des soins de santé.»

«Salut Paul, je t’ai connu alors que tu étais président de la FMSQ durant les travaux sur la politique de la main d’œuvre médicale. [...] Je me disais que les médecins spécialistes étaient bien défendus et représentés...»

«L’utilisation des produits issus du cannabis a apporté des preuves pas encore toutes implacables face à la rigueur scientifique attendue, qui devraient à tout le moins donner l’intuition de pousser plus loin la recherche. Or, dans certaines couches du monde de la santé, et parmi les plus élevées, il ne semble même pas y avoir un effort de curiosité.»

Un article publié dans le numéro d’avril 2018 de Profession Santé a fait réagir l’Association canadienne du médicament générique.

«Devant les inévitables ruptures de services réalisées et annoncées en CHSLD, dans les urgences et dans les unités d'hospitalisation, le ministère se voit obligé d'improviser par une énième mesure bureaucratique», a dénoncé le Regroupement des médecins omnipraticiens pour une médecine engagée.

Les longs délais d’attente sont le ventre mou du système de santé au Canada. [..] il y a pas mal de choses qu’on pourrait mettre en œuvre assez facilement sans avoir recours au paiement privé. Ces mesures toucheraient l’offre et la demande en matière de chirurgie et la coordination des services de façon à réaliser des améliorations notables.

Diminuer le recours à la médication en CHSLD ne repose pas que sur le pharmacien, mais aussi sur les professionnels de la santé, la famille et les intervenants entourant le patient, croit Céline Léveillé-Imbeault.