Nutrition

La prévalence de l'obésité abdominale au Québec est de plus en plus préoccupante: elle a doublé depuis 1990, passant de 21 à 48 % chez les femmes et de 14 à 32 % chez les hommes, selon une nouvelle étude de l'INSPQ.

Le profil génétique des Inuits du Nunavik leur permet de métaboliser le gras différemment du reste de la population, mais les rend aussi plus vulnérables à certains anévrismes cérébraux, démontrent les travaux d'un chercheur montréalais.

Un article pratique publié dans le CMAJ liste cinq choses à savoir sur l'introduction précoce des arachides chez les nourrissons afin de réduire le risque d'allergie.

Une nouvelle recherche révèle que comparativement à l'ensemble de la population canadienne, les adultes qui consomment les plus grandes quantités d'aliments ultra-transformés ont un risque plus élevé de 31 % de souffrir d'obésité, de 37 % d'être atteints de diabète et de 60 % d'hypertension artérielle.

Il n'y a rien de banal à un enfant de quatre ans qui souffre d'embonpoint ou d'obésité: son organisme a déjà commencé à être abîmé et le prix à payer viendra beaucoup plus tôt qu'on ne pourrait l'imaginer.

S'il est pour le moment très difficile d'obtenir de telles informations, cela pourrait bientôt changer avec l'arrivée sur le marché de firmes qui offrent des tests de nutrigénétique.

Même si une récente étude publiée dans le Journal of the American College of Cardiology indique que sauter le petit-déjeuner n'est pas bon pour le coeur, cette révélation n'est pas concluante, selon le cardiologue Martin Juneau.