Mode de vie

Aujourd’hui encore, l’idée selon laquelle les personnes en situation d’obésité sont seules responsables de leur situation est encore largement répandue. Or, cette vision simpliste est non seulement inexacte, mais elle peut s’avérer dangereuse.

Six Canadiens sur dix rapportent que leurs habitudes de vie sont demeurées stables ou se sont améliorées pendant la pandémie, indique une nouvelle étude, notamment en ce qui concerne leur alimentation et leur niveau d'activité physique.

Si l'utilisation de ces technologies peut aider certaines personnes à mieux s'alimenter et à bouger plus, elle peut aussi encourager chez d'autres des comportements néfastes pour leur santé, comme des comportements compensatoires et des troubles de l'alimentation.

Les patients semblent maximiser leurs chances d'une récupération optimale s'ils s'activent physiquement. Quelques heures d'activité pourraient même doubler leurs chances d'une bonne récupération six mois après l'AVC.

Un peu plus de la moitié des Québécois ont une perception favorable de la santé, révèle un rapport dévoilé mardi par l'Institut de la statistique du Québec, même si les données démontrent qu'ils sont plus gros et moins actifs que jamais.

Une étude récente a examiné le lien entre l’obésité et les maladies cardiovasculaires, plus particulièrement si le risque diffère selon que l’obésité est due à une prédisposition génétique ou principalement à d’autres facteurs, tels que l’environnement ou le mode de vie.

Si on savait déjà qu'un sommeil de mauvaise qualité peut avoir des répercussions indésirables sur la santé, cette recherche complexifie la situation en ajoutant à l'équation un facteur qui passait apparemment sous le radar jusqu'à maintenant.

Les effets positifs de l’activité physique sur la santé sont indéniables, mais une étude récente remet en cause le célèbre adage. Les auteurs y contestent l’importance de l’exercice physique pour la santé de notre cerveau et de notre cognition. Qui a tort, qui a raison? La réponse n’est pas si simple.