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«Il n'y a plus de résistance d'aucune façon à l'intérieur du réseau (...) Tout le monde est à la main et à la botte du ministre. C'est marche ou crève parce que le ministre a droit de vie ou de mort sur l'emploi des pdg, des conseils d'administration et tout le reste. On a imposé le silence partout avec un régime très directif, très centralisé», estime Me Jean-Pierre Ménard.

Une nouvelle mise à jour des listes de médicaments du gouvernement du Québec est en vigueur depuis le 20 novembre. Le ministre de la Santé et des Services sociaux a notamment ajouté deux médicaments innovateurs à la section des médicaments d’exception de ces listes.

Philippe Couillard admet que l'argent versé en trop aux médecins, un montant qui frise le demi-milliard $, ne sera pas récupérable.

À compter du 18 décembre, l’AQPP emménagera dans des locaux plus grands près de l’autoroute Métropolitaine.

Compte tenu du fait que la rémunération des médecins représente 62% de ses dépenses de programmes, la RAMQ doit accroître ses mécanismes de contrôle, estime Guylaine Leclerc.

Pas besoin d’attendre les résultats des études demandées par le Commissaire à la santé sur la rémunération des médecins pour comprendre que Québec a perdu le contrôle. Le rapport de la Vérificatrice générale du Québec, rendu public jeudi dernier, est dévastateur à ce sujet.

Le Dr Simon-Pierre Landry, membre du Regroupement des omnipraticiens pour une médecine engagée (ROME), se dit heureux d’avoir été invité par l’Alliance pour appuyer ce qu’il appelle « les revendications légitimes des patients».

L’AQPP estime que la mise en place d’un système d’appel d’offres pour les médicaments n’est pas la bonne solution pour réduire la facture des Québécois pour leurs médicaments.