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«Ni militant, ni fossoyeur de grand projet», le psychiatre croit que notre milieu urbain doit être préservé au même titre que les rivières, les forêts et le Grand Nord. Entrevue.

Lorsqu’on se soucie de santé, ne devrait-il pas être naturel de joindre les préoccupations environnementales à la médecine ?

Dénouement d'un contentieux pouvant paraître inusité pour les usagers du système de santé québécois.

Le concept de rester soi-même en santé et de prendre les moyens d’y parvenir est-il plus prisé des médecins de famille que de leurs collègues spécialistes ?

La plupart des interventions ont tendance à projeter l’image un peu sombre de la situation de la médecine familiale au Québec. Pour faire un peu contrepoids, je souhaiterais exprimer les forces de la médecine familiale québécoise qui en font, à bien des égards, un modèle unique au monde.

47 % des médecins se disent techniquement en épuisement professionnel. « Si demain 47 % des médecins tombaient malades, on serait mal pris. Ce serait bien pire que de manquer d’isotopes!»

Les Drs Marie Giroux et Jocelyne Faucher, de l’Université de Sherbrooke, ont mis en scène quatre médecins représentant un patriarche, ou traditionaliste, un baby-boomer, et deux médecins des générations X et Y. Leur atelier s’intitulait « Travail intergénérationnel: les aptitudes requises pour durer ».

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain rend hommage au Dr Balfour M. Mount pour sa contribution exceptionnelle à la science.