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Opinions

  • Le surdiagnostic, une menace pour la survie de notre système de santé

    «Tous les médecins font du surdiagnostic ou du surtraitement. De 15 à 18 % de ce que nous prescrivons ou traitons, a une faible valeur, n’est pas nécessaire ou peut même s’avérer préjudiciable à la santé de nos patients. Je le fais, mes collègues le font et les patients le demandent...»
  • Un système (encore) défaillant

    En 13 ans, le réseau québécois de santé a vécu sous trois régimes : les Régies, les Agences, pour finalement aboutir aux CISSS et aux CIUSSS. C’est beaucoup d’innovation en si peu de temps et c’est tout à l’honneur des différents ministres de la Santé qui se sont succédés depuis d’avoir fait preuve de tant de capacité à la réinvention. Mais, mis à part l’essoufflement du personnel et l’égarement du citoyen dans le dédale de structures, que reste-t-il de ces révolutions à répétition?
  • Lorsque les politiques de santé tuent

    «La semaine dernière, les projecteurs étaient de nouveau braqués sur le CUSM. Un rapport récent du coroner révélait qu’on a demandé à Kimberly Gloade, une Micmaque, de payer des frais de plus de 1000 $ pour une visite à l’urgence car elle n’avait pas sa carte d’assurance maladie. Incapable de payer, Mme Gloade est partie, condamnée à souffrir pendant des semaines jusqu’à sa mort d’une cirrhose du foie à la maison...»
  • Prescription infirmière : les non-dits

    «Dans le dossier de la prescription infirmière, la perspective des personnes qui reçoivent les soins de santé a été mise de côté, alors que c’est précisément ce point de vue qui permettait de justifier la prescription infirmière.»
  • La santé de nos adolescents est menacée par les publicités d’aliments malsains

    Le projet de loi fédéral sur l’interdiction de publicité d’aliments et de boissons destinée aux enfants doit inclure les jeunes de 16 ans et moins.
  • Les analgésiques sont-ils sécuritaires?

    Depuis le retrait du marché du rofécoxib, l’évaluation du risque cardiovasculaire des AINS demeure un sujet d’intérêt. Une nouvelle étude épidémiologique du British Médical Journal vient confirmer qu’il existe un risque cardiovasculaire significatif associé à l’utilisation des AINS. Que devons-nous faire comme cliniciens ?
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