Neurologie

Pour les scientifiques, les rares «échappés» de la maladie n'ont pas seulement eu de la chance. Ils offrent une occasion sans précédent d'apprendre comment le corps peut naturellement résister à l'Alzheimer.

Une enquête menée auprès de quelque 30 000 personnes dans 18 pays a constaté que le risque de démence était plus important chez les habitantes des pays défavorisés, et ce, même si les facteurs de risque touchaient aussi bien les hommes que les femmes.

Le port d'un appareil auditif pourrait ralentir ce déclin, ce qui rappelle l'importance d'assurer une stimulation maximale du cerveau pour optimiser les chances de le maintenir en santé.

Boire un ou deux verres d'alcool par jour préviendrait la démence alors qu'en boire trois et plus augmenterait le risque, selon une nouvelle étude.

Les deux volontaires ont mieux bougé dès l'activation du stimulateur et, à la fin de l'étude, ont montré une amélioration de leur force musculaire, de leur dextérité et de l'amplitude de leurs mouvements, selon l'étude parue dans Nature Medicine.

En étudiant ce qu'on appelle le syndrome de l'X fragile, l'équipe de Roberto Araya a constaté que les signaux sensoriels qui proviennent du monde extérieur sont sous-représentés dans le cerveau, alors qu'on croyait jusqu'à présent qu'ils étaient surreprésentés.

L’âge des premières menstruations, le nombre de grossesses, le type de ménopause ainsi que l’utilisation d’hormones pour le traitement de la fertilité sont des facteurs faisant varier le risque de développer la maladie, selon une nouvelle étude française.

Un traitement administré directement dans le cerveau donne de l'espoir à plusieurs patients atteints de troubles neurologiques comme le déficit en AADC, qui interfère avec la façon dont les cellules du système nerveux communiquent.