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Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé mardi que «ce n'est pas normal qu'il y ait plus de fonctionnaires avec la création de Santé Québec».

Prévoyant des négociations «très difficiles» avec les médecins spécialistes et les omnipraticiens, le ministre de la Santé annonce que «si l'accès n'est pas disponible, on ne paiera pas le même prix».

La proposition du Collège des médecins ne séduit guère la population ni ses membres, selon un sondage dont les résultats seront présentés lundi midi lors du webinaire du CMQ sur la place du privé en santé.

Des associations de santé exhortent les gouvernements à veiller à ce que les patients canadiens ne soient pas pris entre deux feux dans la guerre commerciale en cours avec les États-Unis.

«Mais où est le Collège?», demande d'emblée le Dr Vincent Oliva, qui a également écrit à ses membres, pour les informer de la lettre qu'il avait fait parvenir au président du Collège des médecins.

Cinq ans après la pandémie qui a décimé et meurtri une génération de personnes âgées, à peine le quart des Québécois jugent satisfaisante l'action gouvernementale pour les aînés.

Chirurgies reportées, faute de fonds, appareils sous-utilisés pour des tests importants... Les répercussions de ces compressions sont nombreuses, a affirmé mercredi, lors d'une conférence de presse, le Dr Vincent Oliva, président de la FMSQ.

On devrait savoir dès cet été si le Québec ouvre le dépistage du cancer du sein aux femmes de 40 à 49 ans. Pour l'instant, le Programme québécois de dépistage du cancer du sein s’adresse uniquement aux patientes de 50 à 74 ans.