Une intervention débutée dans les trois mois après l'accouchement a entraîné une plus grande réduction des symptômes dépressifs qu'une intervention entamée après ce délai.
Alors que les directives cliniques recommandent une perte de poids pour les personnes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques, une étude britannique révèle ses impacts sur l’amélioration de certains symptômes.
Des changements dans le régime alimentaire peuvent diminuer la sévérité des symptômes, notamment en réduisant la consommation de boissons gazeuses et de boissons sucrées non alcoolisées, tout en intégrant le café.
Si l’hormonothérapie réussit à les soulager en partie, des contre-indications empêchent certaines femmes de s’en prévaloir. Or, des traitements non hormonaux prometteurs percent le marché.
Le traitement de ce trouble, à l'origine de règles débilitantes, peut relever des médecins généralistes, des spécialistes de la santé mentale ou des gynécologues.