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Le groupe d’experts de la Société européenne de cardiologie préconise entre autres d’introduire une nouvelle catégorie intermédiaire, dénommée «tension artérielle élevée».

Qu’il est difficile d’aimer, chantait Gilles Vigneault. Ce n’est certainement pas les professionnels de la santé qui diront le contraire, eux qui peinent à concilier couple et travail. Trois psychologues livrent leurs astuces pour surmonter les embûches propres à ces métiers prenants.

Ce n’est pas pour rien qu’on dit les professionnels de la santé mariés à leur travail. Entre les horaires à rallonge, la fatigue, la pression et les patients, leur vie amoureuse est souvent reléguée au second plan. Témoignages de cliniciens qui aspirent tant bien que mal à trouver l’harmonie.

Parce que la vie de couple est rarement dissociable de la vie intime, Profession Santé s’est entretenu avec la présidente de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec, Joanie Heppell, pour comprendre l’impact des métiers de la santé sur le rapport des professionnels au désir et à leur corps. Et glaner au passage quelques conseils.

«Les médecins qui réussissent n’ont pas de vie perso», assène, résignée, la Dre Odile Kowalski. Cette leçon, la médecin de famille spécialisée en obstétrique l’a apprise à ses dépens.

L’institut de cardiologie de Montréal a mis en place un programme de réadaptation cardiaque innovant, à base d’écothérapie, de yoga et de pleine conscience. Un cocktail qui a fait ses preuves sur la santé physique et mentale.

Une étude de l'UdeM a réussi à démontrer que des séances d'entraînement cognitif, notamment des exercices de mémorisation, avaient des bienfaits visibles sur la cognition après six mois de séances et que cela perdurait cinq ans plus tard.

«Le burnout des médecins fait couler beaucoup d'encre. On parle moins de l'autre extrémité du spectre, que l'on pourrait mieux décrire par le terme «joie». Le retour à la joie est dans l'air du temps, ne passons pas à côté!