Guidelines

Deux pharmaciennes d’établissement de santé proposent un guide permettant d'assurer une meilleure prise en charge des interactions médicamenteuses chez les patients qui prennent des antirétroviraux et qui sont soumis à un protocole de chimiothérapie pour traiter un lymphome.

Après avoir misé sur la bonne foi des compagnies pharmaceutiques pour déclarer «volontairement» les ruptures de stocks sur un site dédié, Santé Canada entend maintenant utiliser la loi pour les obliger à le faire.

Les assureurs privés veulent profiter du projet de loi 28 pour réduire les honoraires qu’ils paient aux pharmaciens propriétaires et les ramener au même niveau que ceux que leur verse le système public. Cet écart serait de 17 %. En outre, ils réclament le droit, comme le fait l’État, de pouvoir rembourser le médicament le moins cher.

Le ministre se dit ouvert aux suggestions qui pourront lui être faites pour améliorer l’accessibilité aux soins, mais il affirme qu'un «résultat» est attendu à la fin de l'exercice parlementaire.

Le taux de persistance et le niveau d’adhésion au traitement chez les nouveaux utilisateurs d’alendronate ou de risédronate sont «nettement inférieurs» à ceux des nouveaux utilisateurs de dénosumab ou d’acide zolédronique, selon une étude récente de l’INESSS.

À la suite de l’entrée en vigueur de la nouvelle liste de médicaments du régime général d’assurance médicaments, la Régie de l’assurance maladie du Québec a apporté des modifications à son répertoire des Codes des médicaments d’exception.