Dans ce numéro, on parle de la Loi canadienne sur la santé, des associations médicales, du repositionnement des médicaments, de la légalisation du cannabis un an après, de sécurité informatique, et plus encore.
C’est le temps pour les professionnels de la santé d’abandonner les cordons porte-nom, estime une étudiante en médecine britannique dans un billet publié récemment dans le British Medical Journal.
La légalisation de la vente des dérivés du cannabis intervient alors même que des préoccupations de santé publique associées au vapotage se font de plus en plus nombreuses.
Plusieurs professionnels de la santé craignaient que les patients consommant du cannabis à des fins thérapeutiques ne se tournent vers le récréatif pour s’approvisionner ou s’autotraiter. Aujourd'hui, plusieurs s’entendent pour dire que l’infrastructure du cannabis médical devrait être revue.
Après leur dissolution, deux organisations médicales militantes appellent leurs membres à poursuivre leur combat au sein des syndicats. Serait-ce le calme avant la tempête?
Les découvertes de médicaments «blockbusters» se sont raréfiées, remplacées par celles de médicaments plus spécialisés. C’est dans ce contexte que s’inscrivent les développements récents dans l’univers du repositionnement des médicaments. Une méthode qui présente de nombreux autres avantages par rapport à la conception de nouvelles molécules.