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«Qu’on le veuille ou non, on finit par entraîner nos proches dans le sillage de la médecine. » Mais une saine relation avec eux peut aussi être une voie de prévention, selon la Dre Christine Motheron*, qui animait un atelier à ce sujet au deuxième Colloque sur la santé des médecins.

L’arrivée des femmes et des jeunes générations nous force à reconsidérer les valeurs traditionnelles de la médecine, alors qu’il revenait aux patients de dicter le rythme de travail, la famille devant s’y adapter.

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain rend hommage au Dr Balfour M. Mount pour sa contribution exceptionnelle à la science.

Lorsqu’on se soucie de santé, ne devrait-il pas être naturel de joindre les préoccupations environnementales à la médecine ?

L’État met-il tout en œuvre pour soutenir les proches aidants qui s’occupent d’une personne âgée? En regardant de plus près les défis auxquels ils font face, il devient évident que les années à venir s’annoncent exigeantes pour eux. Et l’État devra reconnaître leur apport au système s’il souhaite respecter leur contribution sociale.

anté Canada a émis un avis de conformité pour le Nplate (romiplostim), un médicament qui stimule la production de plaquettes pour le traitement de la thrombocytopénie chez les adultes splénectomisés et non splénectomisés qui souffrent de purpura thrombocytopénique immunitaire idiopathique (PTI) chronique.

Les Drs Marie Giroux et Jocelyne Faucher, de l’Université de Sherbrooke, ont mis en scène quatre médecins représentant un patriarche, ou traditionaliste, un baby-boomer, et deux médecins des générations X et Y. Leur atelier s’intitulait « Travail intergénérationnel: les aptitudes requises pour durer ».

Six personnes atteintes de la grippe A (H1N1) sont décédées au Canada entre le 29 octobre et le 3 novembre, portant le nombre total de décès à 101.